Entre le vide et l’irréel
Gisent nos âmes désemparées
Aphrodite n’étant point cruelle
Qui nous inflige cette calamité?
Si la douleur nous ensorcèle
D’une magie aux heures embrumées
Les maux d’amour sont éternels
C’est une triste réalité
Ils sont monté sur l’échafaud
Tout nos « je t’aime à la folie »
Tout leur fantômes chantent en écho
« je t’aimerai à l’infini »
Si c’est le temps des longs sanglots
Alors qu’il en soit ainsi
Même les romans les plus beaux
Ont leur part de tragédie
Oh mon amour, nous étions une fois
Toujours l’amour, parfois la guerre
Jamais victimes mais souvent proies
De nos tentations et nulles prières
C’était notre histoire et vois
Les pages partent en poussière
Le bonheur, c’était autrefois
Mais que s’est-il passé hier?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire